#blog-littéraire #chronique-littéraire #bilan-littéraire #bilan-août-2021 #lectures-août-2021
Avec ce dernier bilan estival, j’en finis de recenser mes lectures de ces trois derniers mois. Ce mois d’août est le meilleur de ces trois mois, car je n’ai eu aucune déception, et je n’ai jamais eu autant de coups de cœur en un mois.
✩ Voici mes coups de coeur
Au nom des miens de Nina Wahä
Les refuges de Jérôme Loubry
Le chat, le général et la Corneille de Nino Haratischwili
Donbass de Benoît Vitkine
✩ 1 titre lu dans le cade des Explorateurs pour lecteurs.com
✩ 3 titres lus, et c’est le dernier mois, pour le Prix des Lecteurs #polar














Au nom des miens de Nina Wahä
504 p. , Editions Robert Laffont
Lu dans le cadre des Explorateurs, ça a été le coup de cœur de l’opération, me concernant. Cette exploration des secrets d’une famille du nord de la Finlande est finement et intelligemment menée par une auteure qui signe ici son premier roman.

La force décuplée des perdants de Nicolas Maleski
256 p. , Harper Collins
J’ai bien eu du mal à rentrer dans ce roman bien américain, écrit par Nicolas Maleski. En fin de compte, je m’en suis séparée avec regret de Carsonville et de son drôle et attachant loser Jeff Cannon.
Chronique à suivre


Nord Bonheur de Árpád Kun
470 p. , Editions Viviane Hamy
C’est l’une des rares voix hongroises de cette rentrée : celle d’Árpád Kun qui narre la vie romancée de l’un de ses collègues, franco-béninois, dans leur pays d’exil, la Norvège. Roman d’une vie, ou de plusieurs, Aimé Billon est l’un de ces êtres qui sait s’adapter à tout et chacun, fruit d’un multiculturalisme troublant.


Berlin Requiem de Xavier-Marie Bonnot
368 p. , Plon
J’ai découvert avec plaisir ce chef d’orchestre et compositeur Wilhelm Furtwängler, avec moins de plaisir sa collaboration forcée mais incontestée au régime du 3e Reich. Après les cours d’art graphique aux camps, c’est l’occasion de découvrir le rôle de la musique et du chant aux seins de ces mêmes camps. Passionnant.

Juste avant l’Oubli de Alice Zeniter
281 p. , Editions J’ai Lu
J’ai découvert Alice Zeniter à travers ce roman, idéal en tant que lecture d’été. Ce ne fut pas déplaisant du tout, cela fait partie des lectures que j’oublierai vite, j’imagine.


Au bord de la nuit de Friedo Lampe
162 p. , Belfond Vintage
J’ai découvert avec beaucoup de plaisir cet auteur allemand du début du siècle dernier qui a laissé peu d’écrits, étant mort assez jeune. Belle idée que celle des éditions Belfond de remettre au goût du jour cet auteur qui est injustement tombé dans l’oubli.
Chronique à venir

Sauve-la de Sylvain Forge
352 p. , Le livre de Poche
Première des trois lectures du Prix des Lecteurs du Livre de Poche #polar de ce mois d’août, c’est le titre pour lequel je n’ai pas eu de coup de cœur même s’il reste palpitant.


Les refuges de Jérôme Loubry
432 p. , Le livre de poche
Deuxième roman du Prix des lecteurs #polar, c’est le premier de mes coups de cœur : si vous avez envie de lire un excellent roman policier, si vous avez envie d’être surpris, tournez vous donc vers ce titre. Cela faisait un petit moment que l’on n’avait pas réussit à me prendre de court à un tel point. Bravo !
Chronique à venir


La rose des vents de Andreï Guelassimov
432 p. , Editions des Syrtes
Retour aux sources avec ce roman d’aventure qui nous emmène dans les tréfonds du pouvoir, les guerres d’impérialisme entre les géants Anglais, Chinois et Russe ou Sakhaline devient un enjeu géostratégique. Evidemment, l’ironie de Guelassimov est là pour permettre au lecteur de prendre un peu de recul face aux enjeux de toutes sortes.


Le chat, le général et la Corneille de Nino Haratischwili
592 p. , Editions Belfond
C’est selon moi l’un des romans de cette rentrée littéraire à lire absolument. Nino Haratischwili nous entraîne dans ce lointain et mystérieux pays qu’est la Géorgie, dans son histoire et ses guerres, ses morts, ses survivants. L’histoire d’une vengeance qui se boit jusqu’à la lie.


Donbass de Benoît Vitkine
320 p. , Le livre de Poche
3e et dernier lecture du Prix des Lecteurs #polar, second coup de cœur pour moi, c’est celui pour lequel j’ai voté. Benoît Vitkine, journaliste spécialisé dans la Russie, livre à la fois une intrigue policière plutôt solide et restitue à travers le contexte historique les grandes lignes du conflit de ce bassin houiller entre Ukraine et Russie. A lire absolument !
Chronique à venir

Mort sur le Transsibérien de C.J. Farrington
217 p. , Hugo Publishing
C’est un sympathique polar tenu par une jeune femme, Olga Pouchkine, qui appelle à une série de roman.
Votre commentaire